lundi 22 mai 2017

Fête de Sainte Jeanne d'Arc - mardi 30 mai - 18h30 - à Ars-sur-Moselle

Venez nombreux fêter Sainte Jeanne d'Arc, mardi 30 mai prochain, à Ars-sur-Moselle !

18h30 : messe dans la forme extraordinaire à l'église Saint-Martin d'Ars-sur-Moselle (20, rue Jeanne d'Arc, 57130 Ars-sur-Moselle).

20h : repas et chants (chaque participant amène une salade ou un plat ou une bouteille ou un dessert).
 Renseignements/inscription : sanctamecclesiam@gmail.com
Covoiturage possible depuis Metz.

Sainte Jeanne de France
Notre espérance repose en vous
Sainte Jeanne de France
Priez, priez pour nous.

Jeanne, c'est toi notre unique espérance
Du haut des Cieux, daigne entendre nos voix
Descends vers nous, viens convertir la France
Viens la sauver une seconde fois.

 A bientôt et haut les cœurs !

L’Effroyable Imposture du féminisme - entretien avec Lucie Choffey

Lucie Choffey est née en 1984 près de Bourges, dans le Cher. Après des études d’ingénieur et le début de ce qui aurait pu devenir une belle carrière, elle décide de tout arrêter pour suivre, malgré les pressions et les regards désapprobateurs de son entourage, son désir propre de femme et de mère : rester à la maison et s’occuper de son fils.
Elle essaye alors de comprendre pourquoi, pendant tant d’années, elle a voulu se conformer à ce que d’autres voulaient pour elle, et en quoi le féminisme qui prétend libérer les femmes est en réalité une autre prison dans laquelle la société tout entière est en train d’être enfermée.

Monika BERCHVOK : Comment les mouvements féministes ont-ils profondément bouleversé la société, sans avoir pour autant libéré la femme ?

Lucie CHOFFEY : Les mouvements féministes ont d’une manière globale entraîné les femmes à rechercher le bonheur par l’argent, la séduction et l’indépendance.
En effet, les féministes ont d’une part milité pour la liberté individuelle et sexuelle (liberté de disposer de son corps librement et multiples « droits à ») avec l’IVG et la contraception.
D’autre part, le travail des femmes à l’extérieur du foyer a été largement valoriséà l’instar du travail à la maison. D’où le choix majoritaire des femmes depuis 30 ans pour une activité rémunérée afin de se garantir l’indépendance, même si cela doit nuire à leur temps passé auprès de leur famille.

C’est pour ces raisons que les enfants sont confiés de plus en plus tôt, et souvent toute leur enfance, à des crèches, des nourrices, des baby-sitter, à l’école, au centre de loisir, à des centres de vacances ou d’animation.
Homme et femme sont de plus en plus des individus libérés de la famille, fuyant toutes responsabilités et toutes contraintes.
Nous avons ainsi vu exploser le nombre des divorces et arriver les familles mono-parentales et recomposées. Les rapports homme/femme ont été bouleversés. La mère est devenue toute-puissante assumant tous les rôles à la fois. Le père a été réduit à une fonction de géniteur. L’amour et le don de soi ont été remplacés par la passion, la performance sexuelle, et la réussite sociale et financière.
Beaucoup d’hommes se sont pris au jeu du féminisme et l’ont détourné à leur avantage en imposant à leur femme de travailler pour s’assurer un plus grand confort matériel. Le féminisme les a également libérés de leurs responsabilités. Beaucoup restent donc d’éternels ados, ingrats, fainéants et lâches. De nombreuses femmes, se revendiquant comme féministes, se plaignent d’ailleurs de ne pas trouver d’hommes responsables.

Autre conséquence sociétale, l’école s’est féminisée. Les enseignants sont majoritairement des femmes et l’école est beaucoup plus tournée vers l’éducation (avec sa dimension affective et axée vers l’épanouissement de l’enfant) que vers l’instruction (qui fait appel à l’intelligence et aux capacités rationnelles).

Enfin, la « gay attitude » est valorisée. Les « vrais hommes », virils et responsables, sont stigmatisés comme d’immondes hommes de Cro-Magnon, toujours prêts à exploiter les femmes. Inversement, les femmes masculines semblent représen-
ter un modèle de femmes émancipées et modernes. Etre “gay” n’est plus stigmatisé mais au contraire plébiscité comme une nouvelle forme d’humanité du futur.

mercredi 17 mai 2017

Réunion royaliste - sam. 27 mai - 15h - Peltre

La prochaine réunion du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 15h le samedi 27 mai 2017, à Peltre.
image_mail_baudricourt.jpg
Renseignements et réservations au :
03 83 81 00 29 / 06 46 77 66 85
robertdebaudricourt@gmail.com

lundi 8 mai 2017

Face à la décadence, ayons l'audace de notre Foi

Bonjour chers tous,

J'ai compris que pour s'attaquer au gender et autres dérives sociétales graves, il faut impérativement nommer la racine du ou des problèmes, et on ne peut le faire qu'en confessant sa foi catholique (religion catholique seule vraie religion). Malheureusement, notre belle religion est empoisonnée par le libéralisme dont il faut absolument être informé pour comprendre ce qui nous arrive, c'est-à-dire cette situation de décadence : avortement, euthanasie, mariage pour tous, gender (genre), pornographie généralisée (affiches sexuels scandaleuses à la vue même des enfants...).
Nous sommes tous contaminés par le libéralisme depuis le berceau.

Le Gender participe de cette révolution contre-nature pour détruire l'idée même de Dieu !

Le concept d'égalité n'est pas un concept catholique mais un concept du libéralisme franc maçon pour faire accepter des horreurs idéologiques comme le gender...

Dieu nous a crée tous différents. Chaque âme est différente. Même dans le monde végétal la différence règne. Une tulipe n'est pas une rose... La différence est inscrite dans la Nature.

Les personnes imprégnés de ce libéralisme pensent que les hommes et les femmes sont égaux dans le mauvais sens du terme. Un homme et une femme c'est la même chose. Cela a conditionne et conditionne bien des catholiques au gender sans le savoir. Ils ne comprennent pas qu'un homme et une femme sont strictement différents et complémentaires. Alors ils emploient les termes erronés comme égale dignité (pensée libérale) mais le terme juste c'est complémentarité.

Cela s'imprime dans les esprits au point de changer la mentalité des femmes de manière insidieuse et tragique. Nous rencontrons beaucoup de femmes catholiques qui portent des pantalons, vêtement égalitariste par excellence et gender. Le pantalon nie la différence des sexes, c'est le vêtement de l'égalité qui fait perdre leur féminité aux femmes.

Un moyen simple pour faire face au gender c'est de chérir sa féminité, de porter des robes et des  jupes. C'est déjà un moyen simple parmi d'autres pour éduquer les enfants et les armer pour ne pas tomber dans ce piège genderiste et égalitariste.

La destruction de la famille est voulue pour permettre de détruire l'idée de Dieu. Les francs-maçons ont compris qu'il fallait introduire le vice d'abord chez les femmes pour détruire la religion catholique. Cette cible est judicieuse car la femme est le cœur de la famille.

Voici ce qu'ont dit les papes et les saints au sujet de la tenue vestimentaire des femmes.


Un moyen parmi d'autres pour lutter contre le libéralisme/relativisme c'est de confesser publiquement sa foi.

Le catholicisme libéral a invité les catholiques à réduire leur foi à la sphère privée ce qui est une erreur tragique. Le catholicisme libéral œuvre pour le relativisme religieux, l'œcuménisme afin que les catholiques pensent que la foi catholique est une religion parmi d'autres et n'est plus la vérité. Bon nombre de catholiques sont tombés dans cette hérésie de l’œcuménisme qui peut conduire à la mort de la foi catholique.

Ayons l'audace de notre foi : prions le chapelet dans la rue, train... pour convertir, et c'est une joie de confesser sa foi catholique dans ce monde où règne l'apostasie…

Un monde sans Dieu et non-catholique c'est la décadence absolue !

Que Dieu vous bénisse.

Blandine Spera
sainteblandine@laposte.net

mercredi 3 mai 2017

Rosaire pour la France - samedi 6 mai 2017 / 17h - Ars-sur-Moselle

Samedi 6 mai aura lieu le Rosaire pour la France à 17h, à l'église Saint Martin, à Ars-sur-Moselle.
Il sera précédé à 16h par une répétition de chants catholiques et traditionnels : rosairemetz@gmail.com