(sujet étudié lors de la réunion du Cercle du 3 décembre dernier)
Les corps intermédiaires étaient des communautés traditionnelles au sein desquelles l’homme détenait des parcelles d’autorité en vertu du principe de subsidiarité ; ils lui apportaient protection, responsabilités, honneur et dignité dans le service du bien commun. La Révolution leur a substitué les sociétés de pensée, ces communautés artificielles où la personne est privée de toute possibilité d’action concrète et soumise à la tyrannie de l’opinion.
La démocratie égalitaire la laisse nue et désemparée face à un État
tout puissant qui, pour durer, lui propose l’ignoble marchandage : « on te donne la liberté de jouir si tu nous laisses le pouvoir et l’argent. »
Pour approfondir le sujet : http://www.viveleroy.fr/Les-corps-intermediaires-entre
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