SAM. 10 JUIN 2017 à Bathelémont
Journée-conférences
de l'Union des Cercles légitimistes de Franceavec la troupe des Cœurs de Chouans
Jean-Nicolas Stofflet
Un Lorrain à la tête de l'Armée catholique et royale
Programme :
10h : Accueil
10h15 : Chapelet pour la France
11h : Les guerres de Vendée par M. Jean-Louis Caffarel
12h30 : Déjeuner / Chants
15h : Jean-Nicolas Stofflet par M. Dominique Lambert de La Douasnerie
17h : Clôture
10h15 : Chapelet pour la France
11h : Les guerres de Vendée par M. Jean-Louis Caffarel
12h30 : Déjeuner / Chants
15h : Jean-Nicolas Stofflet par M. Dominique Lambert de La Douasnerie
17h : Clôture
Renseignements / inscription :
robertdebaudricourt@gmail.com
Tél. : 03 83 81 00 29 - 06 46 77 66 85
Royalisme.org
Téléchargez le bulletin d'inscription
Covoiturage possible depuis Metz ou Nancy
Rappel du parcours héroïque de ce soldat des droits de Dieu :
Stofflet (Jean-Nicolas), né à Bathelémont en 1753, était fils d'un meunier. Après avoir servi pendant seize ans comme simple soldat, il devint garde-chasse du comte de Colbert-Maulevrier. Il prit part en 1793 au soulèvement de la Vendée, se distingua dans toutes les occasions, s'attacha à d'Elbée, et devint major général de l'armée vendéenne. Il remplaça La Rochejaquelein dans le commandement en chef en 1794. A la suite de différends avec Charette, il traita avec la Convention en 1795. Il recommença la guerre la même année, sur l'invitation du comte d'Artois (le futur Charles X), avec le grade de maréchal de camp, qui lui avait été conféré ; mais il ne put réunir qu'un petit nombre de soldats, et tomba dans les mains des républicains, qui le conduisirent à Angers, où il fut fusillé en 1796. Il fut un des meilleurs chefs de la Vendée militaire, de l'Armée Catholique et Royale.
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Rappel du parcours héroïque de ce soldat des droits de Dieu :
Stofflet (Jean-Nicolas), né à Bathelémont en 1753, était fils d'un meunier. Après avoir servi pendant seize ans comme simple soldat, il devint garde-chasse du comte de Colbert-Maulevrier. Il prit part en 1793 au soulèvement de la Vendée, se distingua dans toutes les occasions, s'attacha à d'Elbée, et devint major général de l'armée vendéenne. Il remplaça La Rochejaquelein dans le commandement en chef en 1794. A la suite de différends avec Charette, il traita avec la Convention en 1795. Il recommença la guerre la même année, sur l'invitation du comte d'Artois (le futur Charles X), avec le grade de maréchal de camp, qui lui avait été conféré ; mais il ne put réunir qu'un petit nombre de soldats, et tomba dans les mains des républicains, qui le conduisirent à Angers, où il fut fusillé en 1796. Il fut un des meilleurs chefs de la Vendée militaire, de l'Armée Catholique et Royale.
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