jeudi 28 novembre 2013

Le difficile n'est pas de commettre un meurtre, mais d'en effacer les traces


À l’image de tous les régimes fondés sur l’homicide (crimes politiques, massacres de masse), la république se mue naturellement en dictature.

En effet, de même que le régime communiste fondé sur le mécanisme victimaire (la lutte des classes) qui se traduit dans les faits en meurtres politiques afin de prendre le pouvoir, en massacres systématiques des opposants (politiques et religieux), puis en massacres de masse des populations qui ne veulent pas du régime (il faut plier le réel à l’idéologie) , enfin en guerres extérieures pour combattre les prétendus ennemis , le tout encadré par une propagande au service du déracinement (tous les médias de masse au service de l’idéologie), le régime républicain suit le même processus sanglant :

- idéologie de l'idéalisme abstrait, matérialisme et usure érigés en système,
- destruction de la religion et de la tradition : déracinement forcé du peuple,
- crimes politiques et régicide commis par la police idéologique (franc-maçonnerie) et prise du pouvoir par la violence,
- massacre de masse programmé en Vendée (création d'un ennemi de l'intérieur afin d'asseoir sur le sang la légitimité du pouvoir),
- conscription (chair à canon), guerres extérieures et colonisation, afin de plier le monde à la volonté des nouveaux maîtres,
- le tout contrôlé par la police de la pensée : l'éducation nationale puis, plus tard, le ministère de la culture et de la communication (les deux ministères de la propagande).

Aujourd'hui, tout cet édifice fondé sur le mensonge, l'arbitraire et le meurtre, par les vertus paradoxales de la crise, est sur le point de s'effondrer. Aussi, le régime au bord de l’abîme se durcit et vire à la dictature (ce qu'il est essentiellement depuis l'origine de façon structurelle) : arrestations préventives, violences policières, surveillance, manipulation des esprits par l’ensemble des médias de masse, mépris du peuple et de ses légitimes revendications, lois iniques imposées au mépris de la loi naturelle et de l'opinion, culpabilisation programmée et systématique des Français ( tous racistes, tous coupables)

Un des grands maîtres du soupçon, Sigmund Freud, écrivait "le difficile n'est pas de commettre un meurtre, mais d'en effacer les traces". Nous en sommes à ce stade : les traces de tous les crimes de la république sont ineffaçables et toutes les victimes de cet infernal mensonge demandent justice. Ainsi, même si la république se maintient encore quelques années par la coercition des esprits et des corps, elle est, en vérité, déjà morte comme l'empire romain fut détruit avec et par le Christ.

Vincent

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